Ça CEst Passé Simplement 8
Lundi 3 juin pot de départ
Ce lundi, par un concours de malchance jarrivais très en retard au bureau. En partant de chez moi, (jhabite à 150 km de Limoges) je roulais une vingtaine de kilomètres et je crevais un pneu. Changer la roue, trouver un garage pour réparer le pneu crevé et rouler jusquà Limoges, faisait que jarrivais vers 11 heures.
La matinée se passa sans que je puisse voir Mireille. Je pensais à la possibilité dun déjeuner au bureau, mais, non. Toutes les filles (ces dames de la comptabilité) partirent déjeuner ensemble. Jallais au bistrot du coin pour casser une croute rapide et revenais au bureau, javais encore beaucoup de paperasses à terminer. Et ainsi se passa laprès-midi.
Aux environs de 17,30 heures le téléphone sonna, cétait le chef de centre qui me disait quil mattendait dans un quart dheure pour le pot. Effectivement, les équipes étaient rentrées, seuls lencadrement était resté pour le pot de départ.
A lheure dite je descendais et rejoignais lencadrement dans la salle de réunion où tout avait été préparé. Pendant que ces dames servaient lapéritif, je pus entrevoir Mireille. Elle était vêtue dune robe portefeuille, bleu foncé, sans manches. (Imaginez un grand manteau, la partie droite est rabattue sur le corps et est recouverte pas la partie gauche. Le tout fermé par nud avec la ceinture en tissu). Cette robe permettait dimaginer un tas de choses,
et je les imaginais. Quand chacun eut son verre rempli il y eut le discours du chef de centre, qui fut relativement court, auquel je répondis en faisant court également. Dans ce genre de discours cétait on a eu plaisir à travailler avec vous et on vous regretteras et ce dans les deux sens. En fait cétait sympa, car après, tout le monde discutait avec tout le monde. Mireille passait de groupe en groupe et alors quelle était dans un groupe et me faisait face, je sifflais deux notes qui pouvaient être « détonnement » sur une réflexion dun collègue.
Je me demandais ce quelle avait voulu dire et comme, je narrivais pas à me rapprocher delle, je restais sur ma question. Vers 19,00 heures, les verres étaient vides, les invités quittaient la salle quand le chef de centre me demanda si je restais au bureau, car il voulait minterroger, en cinq minutes, sur un problème technique. Je lui confirmais mon intention, entre autres, du fait de mon retard de ce matin avait retardé mon planning, donc pas de problèmes et je voulais finir pour le mercredi étant donné que le jeudi le déménageur venait récupérer mes meubles et le vendredi je rendais mon studio.
Vers 19,30 heures, plus aucune voiture dans le parking, jétais, donc, seul au bureau, quand jentendis que quelquun montait lescalier. Mon sang ne fit quun tour : « Est-ce Mireille ? »
Cétait elle. Avant que jai eu le temps de me lever, elle était dans mon bureau et dit : « Tu as sifflé,
je suis arrivé,
ta chienne arrive,
» Alors que je voulais dire quelque chose en me levant : « Ne dis rien et ne bouges pas avant que je te le dise »
Elle entra plus avant dans le bureau et défaisant le nud de la ceinture de sa robe elle ouvrit la partie gauche puis la partie droite et écartant les deux pans apparut complètement nue.
Elle : « Tout ça est à toi,
javais envie de mettre des dessous sexy, mais,
jai pensé que tu me préférais nue,
offerte à toi nue
cest à toi,
viens,
prends moi,
, embrasses moi,
»
Je me levais et on se rejoignit et on se colla lun à lautre. Inutile de dire que cette entrée en matière avait eu un certain effet sur mon anatomie. Nos lèvres se joignirent, nos langues se trouvèrent et se caressèrent et son corps nue contre le mien commença sa danse du diable, ce qui ne fit quaugmenter mon érection quelle ne pouvait ignorer. Enfin, elle mattira vers la table de réunion.
Le compas de ses cuisses était ouvert au maximum et ayant fait sauter ses trotteurs, les pieds sur la table elle se tendait et ainsi moffrait sa chatte à bouffer. La masturbant avec deux doigts dans sa chatte jen profitais pour pénétrer sa rosette avec le pouce et sa réaction ne se fit pas attendre : « Oui,
prends moi par là,
prends mon cul aussi, il est à toi, .. » Je la travaillais ainsi, deux doigts dans sa chatte, le pouce dans sa rosette et ma langue qui léchait sa chatte. Elle coulait, une véritable fontaine. Elle avait modifié sa position en mettant ses mains sous ses genoux et en tirant ses jambes vers elle. On ne pouvait pas être plus ouverte, plus offerte. Et la sono fonctionnait à plein : « OUIIII,
continues,
je veux ta langue dedans,
OOHHH, cest bon
, continues,
ouiii,
, prends moi des deux cotés,
» Javais uns trique pas possible, il fallait faire quelque chose, si je ne voulais pas éclater, je me défis rapidement et me présentais à lentrée de sa grotte damour que je pénétrais sans problème tellement elle était ouverte et trempée et je commençais les va et vient rapides. Je coulissais avec aisance dans son fourreau chaud et accueillant. Elle finit par mettre ses jambes sur mes épaules et se cramponnant au bord de la table, elle subissait mes pénétrations avec plaisir en le disant : « Ouiii,
oui prends moi,
, cest pour toi,
baises moi fort,
, je veux te sentir méclater la chatte,
, OOOOHHH, que cest bon,
» Vue sa position, il métait possible de moccuper de ses seins, ce que je fis, les prenant à pleines mains en les malaxant énergiquement, pour finir en pinçant, gentiment, enfin pas trop gentiment, les tétons qui durcissaient à mon contact.
Alors que je me reculais, elle marrêtât avec ses pieds, posa ses paumes de mains sur ses cuisses et remonta doucement vers son intimité. Elle me regardait et avait légèrement entrouvert ses lèvres. Au fur et à mesure que ses paumes remontaient vers son entrejambe, sa respiration saccélérait. Elle arriva enfin à sa chatte, une main de chaque coté de ses grosses lèvres et écartant les cuisses, elle ouvrit sa chatte. Enfin elle enfonça, profondément, deux doigts dans sa chatte et les ressortit pour les amener à sa bouche et les sucer tendrement : « Jaime le gout de notre plaisir mélangé, ça menivre ». Jétais subjugué, paralysé par ce que je voyais, cétait dune sensualité et dun érotisme extrême et malgré ce qui cétait passé précédemment je me remis à bander sérieusement. Enfin elle se laissa tomber de la table pour atterrir contre moi : « Embrasses moi,
jai encore envie de toi,
mais je sens que je ne tai complètement satisfait,
dis moi que tu as encore envie de moi,
dis moi que tu veux me baiser, ... allez dis le,
»
Enfin se décollant de moi elle dit : « Je prendrais bien un café, en veux-tu un, je vais aller les chercher » et elle partit pieds nus, toutes voiles dehors. Elle revint nue, enfin presque, sa robe nétant tenue que par ses épaulettes qui avaient glissées sur ses bras. Quant à moi, je rangeais mes outils car le caleçon et le pantalon sur les chevilles manquait délégance et mentravait.
Moi : « Tu es folle de te balader comme ça, on ne sait jamais »
Elle : « Ça mexcite, tu naimes pas ? Dis moi que ça texcite de me voir nue dans les bureaux de me baiser dans ton bureau. Tu naimes pas ? »
Que pouvais-je dire, effectivement cétait excitant, mais quand même.
Elle : « Assieds toi et prends ce café, je veux masseoir sur tes genoux »
Cest ce quelle fit, en rejetant sa robe avant de sasseoir, javais ses fesses nues sur mes genoux, cétait follement excitant. Mais je pensais une position plus agréable.
Moi : « Non, pas comme ça »
Elle : « Comment ? »
Moi : « Viens à cheval sur mes genoux »
Elle : « Mais,
»
Moi : « Jaurais ainsi tes seins à portée de bouche, jaime les voir, les caresser, les sucer »
Elle : « Tu ne crois pas que tu s, je vais finir par croire que tes un beau salaud. Me demander de me mettre dans cette position,
»
Elle se leva et vint se mettre à cheval sur mes genoux
Moi : « Tu as raison, je connais une jeune et jolie femme qui est gourmande de sexe, qui aime quon soccupe de ses jolis seins et qui aime avoir les cuisses bien écartées ouvrant ainsi sa chaude et humide grotte damour pour quelle soit remplie, et je vais moccuper de ces jolies choses »
Passant mes mains dans son dos je lattirais à moi et pendant que je la caressais, alors que je mapprochais de ses seins, sans attendre elle les prit pour me les mettre en bouche. Un sein puis lautre et elle recommençait. Les tétons se durcirent et je commençais à les mordiller ce qui entraina des soupirs puis une mise en route des commentaires
Elle : « Jaime que tu me caresses,
continues,
oui,
suces mes seins, jaime,
oui têtes moi,
salaud, quest-ce que tu as fais de moi,
dés que tu me touches, je deviens folle,
je ne penses quà ça,
continues,
de me sucer,
oui,
»
Pendant que ma bouche tétait ce quon, lui offrait mes mains ne restaient pas inactives lui caressant le dos, descendant jusquaux fesses que jécartais, essayant de taquiner sa rosette et je remontais. Sous mes mains sa peau semblait vibrer et jeu la très nette impression que les cuisses sécartaient et se tendaient sur les miennes, cela mindiquait quil fallait agir pour maintenir la pression. Pendant que la gauche la tenait aux hanches. (Caressez une femme au niveau des hanches elle se cambrera immédiatement, avançant son bassin), la droite abandonnait le dos pour se glisser entre elle et moi au niveau de sa chatte, que je couvrais de ma paume. Elle était très nettement trempée.
Elle : « Oui, jaime ta main sur ma chatte,
caresses moi,
oui, encore,
ne rentres pas,
, je suis tellement excitée que tu vas me faire jouir, .., arrêtes,
, prends moi,
prends moi vite,
»
Je glissais deux doigts entre ses grosses lèvres et commençais à la pénétrer, et me retirais et ainsi de suite plusieurs fois, la réaction fut immédiate
Elle : « Non, arrêtes,
je vais jouir,
, prends moi vite,
, baises moi fort, très fort,
viens,
»
Moi : « Appuis toi sur la table »
Elle se retourna, sappuya sur la table. Jécartais le peu de robe qui navait pas glissé et je mapprochais de son joli cul quand elle me saisit et me dirigea vers et dans sa chatte avec un soupir de satisfaction alors que je lui disais : « Tu as toujours un aussi joli cul, bien bandant »
Elle : « Salaud, fais moi lamour,
prends moi fort,
jaime te sentir me remplir,
oui, continues,
je te sens bien quand tu me prends,
, oui,
continues,
» et lâchant la table, elle se colla une grande claque sur la fesse droite. Je me collerais des coups de pieds au cul, javais omis ce plus que dautres fois elle avait semblé aimer. Sans hésiter alors je lui claquais la fesse gauche, la réaction immédiate se fait sentir par la contraction de ses muscles internes qui enserrent brutalement ma queue et la musique reprend : « Oui,
continues,
encore,
jaime te sentir,
cest,
» Encouragé je claquais les deux fesses, la réaction fut plus forte, cétait excitant, et voir son joli cul, jeu brusquement envie de le prendre : « Je veux prendre ton cul «
Elle : « Oui,
il est à toi,
oui encules moi,
jen ai envie,
»
Moi : « Tas envie de te caresser,
je sais que tu aimes te caresser quand tes prise par derrière,
alors vas-y »
Elle « Taimes,
, ça texcite,
oui, jaime être prise des deux cotés,
continues,
, oui,
, jaime,
, encules moi fort,
OOOHHH,
oui,
je vais jouir,
ne tarrêtes pas,
, OUIIIII,
, encore,
, OUIIIIII,
,OUIIIIIIII,
je JOUIIIIIS,
» Je venais juste de méclater, de me vider dans son cul quand elle partit, en poussant un cri de jouissance,
Heureusement quil ny avait personne.
Enfin se redressant elle vint se coller contre moi : « Cétait bon,
tes un amour,
embrasses moi,
, il faut que jy aille,
merci,
»
Alors quelle partait toutes voiles dehors, elle fit en sorte que je vois son joli cul et je lui dis : « Noublies pas tes dessous,
on pourrait croire des choses »
Elle se retournant : « Tu crois,
les gens ont souvent mauvais esprit » et elle se mit à rire.
En attendant quelle se refasse une beauté, je métais mis à mon bureau et me disais cette Mireille est une sacrée nana, oui, une sacrée femelle, qui aimait le sexe. Javais passé de bons moments avec elle et jallais la regretter, mais bon, la roue tourne et peut-être, à loccasion dun séminaire, ou autre réunion,
enfin on peut rêver. Elle sétait refaite une beauté et avant de partir elle revint dans mon bureau.
Moi : « Pour le départ, tu membrasses »
Elle : « Bien sûr » et elle sapprocha de moi et de nouveau on se colla dans un nouveau corps à corps et nos lèvres se joignirent. La sentant contre moi, jai eu une folle envie delle, malgré ce que nous avions fait précédemment, je mis à bander. Elle du le sentir car elle dit : « Tu me parais encore en forme ? »
Moi : « Jai envie de toi » et lâchant sa bouche, je moccupais de son cou, cétait toujours sensible et réactif.
Elle : « OH, ... non, il faut que je parte »
Moi : « Je te pose un ultimatum, ou tu me suces ou je te saute»
Pendant cet échange, javais réussi à atteindre son intimité, qui, cette fois, était recouverte, mais, qui me paraissait bien chaude et je caressais ces grosses lèvres à travers le tissu, et cela commençait à faire son effet, les cuisses sétant légèrement écartées.
Elle : « Arrêtes, sil te plait,
il faut que je parte,
OOOHH,
arrêtes,
OOOOHHHH,
arrêtes,
, non cest pas vrai,
attends,
OOOHHH, non, jai encore envie de toi,
prends moi,
jenlève ma petite culotte,
je nen ai pas dautres,
tu es un salopard,
un monstre,
maintenant jai envie de toi
oui, prends moi,
oui baises moi,
»
Et pendant cet échange la culotte était partie, et javais sorti mon matériel, qui ne demandait quà prendre lair, et faisait honneur à son propriétaire. Appuyée dos au mur, la prenant sous le genoux de la jambe droite je la soulevais. Elle prit ma tige et la guida vers son fourreau chaud et qui commençait à bien shumidifier enfin elle avança son bassin pendant que je menfonçais dun coup de rein. De façon à assurer ma prise je soulevais sa jambe gauche, elle était ainsi complètement empalée sur ma tige ses jambes mencerclant complètement, ses bras se tenant à mon cou, je pouvais la ramoner à loisir.
Ce quelle paraissait apprécier, car le son se mit en route. « Tas gagné,
Ouiiiii,
OOOHHH, cest bon,
, ouiiii, baises moi fort,
sur la table, on sera mieux
ouiii, jaime,
encore oui,
continues, ça vient,
»
Dans cette position elle était ouverte et ne pouvait que subir, mais suivant son conseil, malgré mon pantalon qui mentravait, je la portais jusque sur la table et ainsi je la baisais à grands coups de rein. Malgré ce que nous avions fait, certes je bandais dur, et je commençais à sentir le plaisir monter dans mes reins, mais il fallait que ça sorte. Jétais devenu une machine baiser et je ne pouvais marrêter tant que je ne me serais pas vider, quant à ma partenaire, son plaisir coulait dabondance sur mes cuisses, elle le disait et javais limpression quelle était très chaude et quelle était prête à partir
« Ouiiiii,
encore,
, cest bon,
, Ouiiiiii, je vais jouir,
, ne tarrêtes pas,
OUIIIIIII,
continues,
, ne tarrêtes pas,
, je vais jouir,
Je JOUIIIIIIIIIS,
.. »
Elle était partie, moi ça montait mais je ne pouvais marrêter, et je continuais mes va et vient alors que Mireille subissait, et le son reprit, mais pas dans le sens que jaurais aimé : « Arrêtes,
, je nen peux plus,
ooohhh, sil te plait arrêtes,
, je suis moulue,
je ten supplie,
»
Là, je me suis vu en train de la ramoner, certes elle avait pris son plaisir et moi jétais resté en rade. Alors que tout ce que nous avions fait avait été fait en accord, jétais en train de la baiser contre son gré. Je fis un effort terrible pour marracher à son fourreau. Mireille se redressa et vint se coller contre moi et me donna ses lèvres, et elle sentit contre son ventre une chose proéminente. Elle séloigna un peu et regarda la chose et elle dit : « Mon pauvre chéri, tu vas exploser,
laisses moi faire, je vais devoir men occuper » et elle saccroupit et commença à soccuper de ma tige, qui je suis certain avait encore pris de la consistance quand Mireille avait dit : « Mon pauvre chéri »
Causant directement à ma tige : « Tu mas donné bien du plaisir ces deux mois et particulièrement ce soir. Je vais moccuper de toi et te donner du plaisir ». Pendant ce petit discours elle me caressait, non elle meffleurait la queue du bout des doigts, montant descendant, de véritable caresses, puis ce fut le bout de ses ongles, cétait de plus en plus difficile à supporter.
Moi : « Arrêtes ça,
suces moi, vite,
je vais éclater,
»
Elle : « HUmmm, HUmmm,
» et elle prit mon gland entre ses lèvres et lhumidifia juste pour une douce caresse et se reprenant elle lécha ma tige à grands coups de langue, enfin elle me prit complètement en bouche et commença à me pomper. Alors que je sentais le plaisir arrivait, elle sarrêta brusquement et me dit : « Tu aimes,
jaime te sucer,
» elle me reprit en bouche, tout en caressant la tige du bout de ses doigts, ça devenait insupportable, puis sarrêtant de nouveau : « Dis moi que tu aimes que je te suce,
, hein tu aimes,
»
Moi : « Tes une belle garce de faire ça,
»
Elle : « Cest pour ça que tu maimes,
tu aimes ta salope,
»
Et elle se reprit. Elle se mit à me lécher le gland puis à mavaler complètement et à me pomper avec énergie. Tout dun coup, avec un « OOOHHN, cest bon,
» je me vidais et lâchais dans sa bouche. Elle avala le tout et continua à pomper et elle réussit à me vider complètement et à avaler les dernières gouttes.
Puis se relevant, elle se colla à moi : « Alors,
tu as aimé,
tas aimé prendre ma bouche une dernière fois,
»
Moi : « Tu es une belle garce, une merveilleuse suceuse,
» et je lembrassais sur les lèvres. Elle sesquiva en disant : « Il faut vraiment que je men aille, je serais bien resté encore un peu, mais il faut que je parte, ... mais je voudrais te dire : tu mas fait passé deux mois merveilleux. Je ne sais pas comment ça cest fait, tu me rends folle, quand je te vois, je ne pense quà une chose, que tu me prennes dans tes bras, que tu me fasses lamour, que tu me baises. Tu as réussi à me faire faire ce que je naurais jamais imaginé faire. Je naurais jamais imaginé mettre une jupe « pratique » avec rien en dessous pour que tu puisses me caresser ou plutôt me faire jouir.
Je suis un peu triste que tu partes, dun autre coté je pense que cest mieux pour nous deux car en continuant nous aurions pu faire des bêtises
Je prends mes affaires et je men vais,
»
Elle disparut quelques minutes, et en passant le tête par la porte : « Penses un peu à ta salope, Adieu mon chéri,
» Elle était parti. Je suis resté à mon bureau pour reprendre les esprits et me demander pour quoi elle avait dit : « Mon chéri » cétait débile ou elle était folle,
De toutes les façons je la verrais demain et je tâcherais davoir des explications. Quant aux bêtises quon aurait pu faire, je pense quon les avait faites, et quon avait eu, sacrément, de la chance de ne pas se faire prendre, surtout au bureau. Enfin, on verrait demain.
Le lendemain, jarrivais un peu en retard par rapport à mes habitudes. Pratiquement tout le personnel féminin était déjà arrivé. A la pose café, pas de Mireille. Incidemment je demandais : « Mireille ne prends pas de café ce matin ? » et une de ses collaboratrices me répondit, que Mireille avait téléphoné ce matin pour annoncer quelle nétait pas bien et quelle devait aller voir le toubib. Une autre dit, « Elle a du trop boire hier soir » ce qui fit rire tout le monde, sachant que Mireille ne buvait pratiquement jamais. Je finis la journée et la semaine, sans savoir de nouvelles de Mireille. Je quittais définitivement mon poste pour partir en congé et reprendre en Août mon nouveau poste.
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